Comme tous les matins, retrouvez l’essentiel de l’actualité des affaires du sport et de l’esport Merci pour votre lecture et n’hésitez pas à la partager !

Dans le cadre d'une étude de marché approfondie, je mène une analyse des solutions technologiques et des pratiques de gestion utilisées par les clubs sportifs professionnels en France. L'objectif est de dresser un panorama des outils (billetterie, CRM, cashless, AI, applications mobiles, etc.) qui soutiennent la performance opérationnelle et l'engagement des fans dans le secteur sportif.

Votre participation est précieuse et nous permettra de recueillir des informations clés pour comprendre les tendances actuelles et futures du marché. Ce questionnaire est conçu pour être simple et rapide à remplir.

Nous vous remercions sincèrement pour le temps que vous consacrerez à ce questionnaire.

Pour ceux que cela intéresse, certaines données pourront être partagées.

“Le Top 14 est devenu le leader mondial des championnats”

Yann Roubert, le nouveau président de la Ligue nationale de rugby, se félicite du chemin parcouru depuis l’avènement du professionnalisme dans le rugby il y a 30 ans, et de la bonne santé du Top 14, qu'il qualifie de "leader mondial des championnats". Pour lui, l'écosystème du rugby français a su "concilier l’exigence du professionnalisme tout en gardant son esprit". Un bilan qui, au-delà de la ferveur, révèle un secteur en pleine croissance mais encore fragile sur le plan financier.

Un poids économique et une attractivité sans précédent

Le passage à l'ère "open" en 1995 et la création de la LNR en 1998 ont transformé le rugby français en une véritable puissance économique. Le Top 14 est aujourd'hui un championnat qui "attire le plus de monde dans les stades, le plus de stars, le plus de téléspectateurs, le plus de droits télé, le plus de partenaires..."

L'ensemble des 30 clubs professionnels emploie "un peu plus de 1.200 joueurs professionnels" et génère un "budget cumulé de 600 millions d’euros". Le poids économique du secteur est estimé à "1,3 milliard d’euros", une contribution significative qui "crée de l’emploi et de l’activité économique".

Cependant, cette croissance n'est pas sans paradoxes. Yann Roubert insiste sur la nécessité de rester "alerte", car "la situation des clubs reste fragile". Il révèle l'existence de "75 millions de déficits d’exploitation dans le rugby français". Le défi est donc de poursuivre cette expansion sans "vivre au-dessus de nos moyens", surtout dans un contexte où les salaires des joueurs ont "très fortement augmenté" ces trente dernières années.

Des garde-fous essentiels pour une croissance maîtrisée

Pour garantir la pérennité du modèle, la LNR s'appuie sur des outils de gouvernance stricts. Le "salary cap" (plafonnement de la masse salariale) est considéré comme un "garde-fou absolument essentiel" pour assurer une "croissance raisonnée" et éviter les dérives financières. En outre, le "double projet sportif et économique", qui vise à former les joueurs et à les préparer à leur reconversion, est un autre "garde-fou qu’on doit absolument garder".

Le développement du rugby se fait également par une expansion géographique. Yann Roubert salue le succès de "nouveaux territoires" comme Vannes ou Lyon, qui coexistent avec les "bastions historiques" tels que Bayonne ou Béziers. Il espère voir des projets émerger dans le Nord et l'Est de la France, estimant que "on a tout à gagner" de cette diversification. Le développement du rugby dans les grandes métropoles ne doit pas se faire "au détriment" des terroirs historiques, mais "en complément".

Le principal danger pour le rugby de club en France est connu : si le Top 14 est un championnat puissant, les modèles économiques de nombreux clubs reposant sur la générosité de leur actionnaire rend sa durabilité encore incertaine. Et un retournement de l’économie pourrait fragiliser certains de ces clubs.

À lire sur le figaro

Adidas dévoile le nouveau kit de l'équipe de France pour les Mondiaux, avec beaucoup de rouge - l’équipe

L'ANJ (Autorité Nationale des Jeux) lance une campagne pour prévenir les risques liés aux paris sportifs et s’affiche sur les maillots de 14 clubs amateurs - sport easy

200 à 300 personnes.

C’est le nombre de recrutement prévus par le COJOP Alpes 2030 pour les années 2025 et 2026.

De 200 à 300 personnes seront ensuite recrutées en 2027, puis de 400 à 600 en 2028 et de 1000 à 1300 en 2029.

32 000.

C’est le nouveau record d’abonnés au LOSC pour la saison 2025-2026. Cela représente une augmentation de +78% d’abonnés sur les 7 dernières saisons

À lire sur losc

Voici le lien le plus cliqué dans le newsletter précédente

À la relance, la start-up Sorare signe avec la LFP - les échos 💰